• Les agences sanitaires bloquent l'accès aux informations

    Tout le travail des autorités de pharmacovigilance (Afssaps, HAS en France, EMEA en Europe) privilégie les intérêts des firmes pharmaceutiques, volontairement ou pas: conceptions dépassées, outils inappropriées, opacité. En cas de doute sur les risques d’un médicament (avant ou après son autorisation), les autorités sanitaires tranchent spontanément en faveur de l’industrie pharmaceutique. Pas de prudence ou précaution. Les agences sanitaires bloquent l'accès aux informations au nom de la protection des droits à la propriété intellectuelle des firmes (donc des intérêts commerciaux privés). Même lorsque les effets indésirables sont irréfutables, il faut des mois ou des années pour qu’elles en parlent. Peu de pays européens acceptent les notifications faites directement par les patients (résultat du lobbying...) Les experts des autorités sanitaires (médecins et autres) ont très souvent des conflits d’intérêts : ils sont payés directement ou indirectement par les laboratoires.


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